Seigon, sans eau minérale (suite)

Seigon avait galopé toute son âme a découvert pour ne pas qu'on le suive. Et d'ailleur elle ne voudrais surement pas le suivre. Il s'arrêta et contempla le temple en ruine, sabloneux.

-Ya quelqu'un?

Demanda l'étalon, a la cantonade

Flicka était dans le fond du temple en ruine. Elle n'entendait pas énormément de bruit, seulement la fine pluie qui coulait sur les roches insalubres du temple. Elle se retourna et vit une ombra passer en s'en allant a la droite. Elle prit un passage et tomba face a face avec seigon!

-encore toi? et pourquoi es-tu sur mon territoire cette fois?

En voyant de nouveau la jument, il n'eu même pas une vague d'étonement.

-Ton territoire? Pfff. Et puis si je suis là c'est en partie ta faute, fallait pas m'énerver. En plus t'aurais pu choisir un autre territoire, celui là est vach' pluvieux.


Il sortit et la pluie chaude s'intensifia. L'eau douce ruisselait sur l'étalon, qui restait stoïque, s'attendant a une désagréable remarque qui lui permettrai de partir, et de ne plus la voir, cette jument dévergondée.

Flicka le regarda.

-j'ai choisi ce territoire car il me représente un peu. Il se referme a la vu d'autrui mais lorsqu'il connait bien la personne et qu'il peut se sentir en confiance et aimé, il s'ouvrent enfin au monde autour de lui. Il leur donne la pluie pour s'abreuver et baisse sa chaleur. Il m'a adopté, et j'ai fait de même. C'est comme si ce paysage était moi, il est imprégnier en moi, je lui parle comme si se serait une personne même si il ne répond pas vraiment je croit toujours en lui et je pense qu'il m'écoute. Quand je parle, le vent s'arrette, le silence parfait. Et puis quand j'ai fini, le vent se déchaine et puis s'arrette s'appretant a un autre discour. c'est comme un ami comme moi. Voula pourquoi j'ai choisis cette endroit. Esperons que tu ne me fasse pas de remarque désolente comme l'autre fois.

Elle avait un ragard profont et sincère, c'est yeux était devenu noir et impénétrable.

Ce fastidieux discourd révelait l'âme de la jument, et méritait d'être écouté, ce qu'il avait fait.Il avais été déconcerté par ces propos. Mais sa repartie prit le dessu, on ne sais pourquoi, il ne savait être lui même avec elle.

-Suffisait de dire :<<Barre toi, Seigon! Tu vois bien que tu me dérange, j'étais en convertation avec moi-même!>> .

Il se décida a regarder Flicka, planta son regard demi haineux, demi instable dans ses yeux noirs. La pluie couvrait les larmes peu nombreuses de l'étalon.

flicka resta bouche bée. mais pourquoi avait-il dit cela? ewt pourquoi laurait-elle dit?

-pourquoi aurais-je dit cela?

Elle eu un petit rire discret a peine perscible.

Aucun étonement dans sa voix, aucune autre émotion d'ailleur:
-Parce que je te suis indésirable en ces lieux.

Le vaillant ramena ses membres sous lui et fit quelques pas en direction de Flicka, haut perchée sur son temple, les yeux toujours plantés dans les siens.

- Non.. j'ai eu le temps de réfléchir et de pardonner.. tu es le bienvenu

Elle pencha sa tete en signe de bienvenu. Elle avait aprit a pardonner, et c'est ce qu'elle avait fait.

-Je n'avais rien a me faire pardonner. Tu te fait des films.

Il avais pris la peine de baisser le ton, pour ne pas la tourmenter plus. Il laissa vaquer son regard sur le coté, implantant une défaite dans l'esprit de Flicka: Elle ne l'avais pas convaincu.

Il se retourna et regarda les dunes qui se succèdaient, la beauté du paysage, comment pouvais t'on ignorer ce qui s'y passait? Il eu soudainement l'envie d'explorer. Il partit au galop, et quelques mètres plus loin, décrivi un demi cercle bien courbe et cria a la jument:

-Alors, tu viens?

Avec un beau regard moqueur.

[On recréé un post dans une autre partie de désert quand tu aura répondu, après t0ut ça coûte rien?]

[ok]

FLicka gardit le silence pendant de breve instant.

- tu veux redevenir mon ami ?

Elle le suivit au trot, en regardant dans les alentours son royaume.

-Redevenir? Oui, mais ça ne se demande pas, ça se fait!

Faisant signe de suivre, il partit au galop vers les dunes dorées, mouillée, et sabloneuses, heureusement! Il n'avais plus en tête que la douceur du vent contre son poitrail, qui semblait le repousser.